Florian Henckel von Donnersmarck (n.1973-)
Florian Henckel von Donnersmarck est un réalisateur et scénariste allemand, né le 2 mai 1973 à Cologne.
Issu d'une vieille famille noble de Haute-Silésie, les Henckel von Donnersmarck, il a le titre de Graf (équivalent de comte). Il est mieux connu pour avoir écrit et réalisé le film La Vie des autres, pour lequel il a remporté un Oscar.Florian est le fils de Leo-Ferdinand Graf Henckel von Donnersmarck, qui était président de la division allemande de l'Ordre de Malte, et de Anna Maria von Berg. Il a la nationalité allemande et autrichienne, bien qu'il n'ait jamais vécu en Autriche. Il est le frère cadet du scénariste Sebastian Graf Henckel von Donnersmarck. Son oncle, Gregor Henckel von Donnersmarck, a été abbé à l'abbaye de Heiligenkreuz, près de Vienne(w.fr.).
Issu d'une vieille famille noble de Haute-Silésie, les Henckel von Donnersmarck, il a le titre de Graf (équivalent de comte). Il est mieux connu pour avoir écrit et réalisé le film La Vie des autres, pour lequel il a remporté un Oscar.Florian est le fils de Leo-Ferdinand Graf Henckel von Donnersmarck, qui était président de la division allemande de l'Ordre de Malte, et de Anna Maria von Berg. Il a la nationalité allemande et autrichienne, bien qu'il n'ait jamais vécu en Autriche. Il est le frère cadet du scénariste Sebastian Graf Henckel von Donnersmarck. Son oncle, Gregor Henckel von Donnersmarck, a été abbé à l'abbaye de Heiligenkreuz, près de Vienne(w.fr.).
Ultimul film al regizorului Florian Henckel von Donnersmarck, autorul excelentului film Viata celorlalti (2006)
Florian Henckel von Donnersmarck, Opera fara autor, film 2018
Titre original : Werk ohne Autor
- Titre international : Never Look Away (de data asta, traducerea engleza e cea care o ia razna)
- Titre français : L'Œuvre sans auteur
- ===========================================
L'Œuvre sans auteur (en allemand Werk ohne Autor) est un film dramatique allemand en deux parties, écrit, coproduit et réalisé par Florian Henckel von Donnersmarck, sorti en 2018.
Synopsis
En 1939, à Dresde, un jeune garçon Kurt Barnert (Cai Cohrs) découvre, avec sa tante Elisabeth (Saskia Rosendahl), une exposition de tableaux « dégénérés ». Sa tante, prétendument atteinte de schizophrénie, sera internée puis assassinée par les nazis. Le temps passe. Kurt (Tom Schilling), voulant devenir peintre, suit une formation artistique conforme au réalisme socialiste en République démocratique allemande, avant de passer en République fédérale d'Allemagne.
L'oeuvre sans auteur.BANDE ANNONCE:
Contexte historique
Le film s'inspire librement des premières années de la vie du peintre allemand Gerhard Richter (né en 1932), lequel a formellement exigé que le personnage interprété par Tom Schilling ne porte pas son nom, et que ses œuvres n'y soient pas montrées.
====================================
L'Œuvre sans auteur
Titre original: Werk ohne Autor
Réalisation:Florian Henckel von Donnersmarck
Scénario:Florian Henckel von Donnersmarck
Musique: Max Richter
Acteurs principaux:Tom Schilling, Sebastian Koch, Paula Beer
==========================================
La Vie des autres (Das Leben der Anderen) est un film allemand sorti en 2006
La Vie des autres
La Vie des autres
Titre original | Das Leben der Anderen |
---|---|
Réalisation | Florian Henckel von Donnersmarck |
Acteurs principaux | |
Pays d’origine | Allemagne |
Genre | Drame |
Durée | 137 minutes |
Sortie | 2006 |
La Vie des autres (Das Leben der Anderen) est un film allemand sorti en 2006, écrit et réalisé par Florian Henckel von Donnersmarck et récompensé de nombreuses fois, notamment aux États-Unis par l'Oscar du meilleur film en langue étrangère.
Résumé
En 1984 à Berlin-Est, Gerd Wiesler, capitaine de la Stasi, froid, intransigeant, totalement dévoué au système, se voit confier la tâche de surveiller le dramaturge Georg Dreyman. Wiesler comprend vite qu'il s'agit d'une intrigue orchestrée par le ministre est-allemand de la culture Bruno Hempf, qui impose des rapports à la comédienne Christa-Maria Sieland, la compagne de Dreyman ; le ministre souhaite ainsi compromettre son rival pour l'éliminer. Le supérieur de Wiesler et ancien camarade de classe de ce dernier, le lieutenant-colonel Grubitz, espère quant à lui que cette mission sera bénéfique à sa carrière.
Wiesler, installé dans les combles de l'immeuble de Dreyman et équipé d'un imposant matériel d'écoute, s'imprègne de la vie quotidienne des personnes qu'il espionne nuit et jour. Admirateur du talent de comédienne de Christa, il cherche à mettre fin à la situation qui la contraint à se soumettre au ministre de la culture ; il active la sonnette de l'appartement de Dreyman pour que ce dernier se rende compte que le ministre poursuit Christa-Maria de ses assiduités, il rencontre Christa dans un café et lui témoigne admiration et compassion, ce qui l'incite à rompre avec Hempf. Wiesler s'éloigne ainsi peu à peu de sa mission : il en vient à ne rien signaler lorsque Dreyman, à la suite du suicide de son ami Jerska — metteur en scène de théâtre interdit de travail —, s'affaire à la rédaction d'un article de presse pour le magazine ouest-allemand Der Spiegel, destiné à révéler le taux de suicide anormalement élevé en RDA. Pour rester anonyme et éviter l'arrestation, Dreyman utilise une machine à écrire, fournie par le magazine édité en RFA, qu'il cache sous son parquet.
Progressivement, Wiesler en vient à rédiger des rapports incomplets ou falsifiés, dans le but de protéger l'homme qu'il est censé surveiller.
Lorsque Christa-Maria Sieland, inquiétée en raison de son usage de médicaments interdits, et surtout pour avoir repoussé Hempf, est interrogée par Grubitz, elle dénonce — pour sauver sa carrière — son compagnon comme étant l'auteur de l'article paru entretemps dans le Spiegel. La perquisition chez Dreyman s'avère infructueuse car Christa a volontairement omis de donner l'endroit de la cachette contenant la machine à écrire. Toujours détenue à la Stasi, elle est à nouveau interrogée, cette fois par Wiesler, contraint par Grubitz qui a des soupçons sur sa loyauté. Elle donne cette fois l'emplacement de la cachette de l'appartement de Dreyman, se voit promettre par Wiesler que la perquisition n'aura lieu qu'une fois qu'elle aura quitté les locaux de la Stasi. Elle est recrutée comme « collaboratrice officieuse ». On voit ensuite Wiesler se précipiter chez Dreyman. Grubitz lance une deuxième perquisition de l'appartement. Christa-Maria, horrifiée d'avoir « donné » son compagnon et persuadée qu'il va être arrêté, s'enfuit de l'appartement et se suicide en se jetant sous un camion, sous les yeux de Wiesler, resté en faction devant l'immeuble. Wiesler n'a que le temps de lui dire "qu'il n'y a rien à racheter car il a pu…" avant qu'elle ne meure. Grubitz et ses hommes ne trouvent pas la machine dans la cache signalée et s'excusent de leur "erreur" auprès de Dreyman qui tient Christa morte dans ses bras.
Cependant, Wiesler a éveillé les soupçons de son supérieur Grubitz, ce qui suffit pour qu'il rétrograde son vieuw camarade au service de contrôle du courrier, la « section M ».
Plusieurs années plus tard, après la chute du mur de Berlin et l'ouverture des archives de la Stasi, Dreyman rencontre de nouveau Hempf qui lui apprend que son appartement était sur écoute. Après avoir constaté que son appartement est en effet encore « truffé » des micros de l’époque abandonnés par la Stasi, il se rend aux archives de la police politique et consulte le très épais dossier qui le concerne : il remarque les falsifications apportées par le responsable de sa surveillance et remarque sur le dernier rapport de l'agent « HGW XX/7 » la trace d’une empreinte à l'encre rouge, la même encre que celle de la machine disparue de son appartement. Il comprend alors qu'il a bel et bien été protégé par cet agent « HGW XX/7 », lequel lui est inconnu. Il effectue des recherches complémentaires et découvre que cet agent, Wiesler, est désormais livreur de prospectus et journaux gratuits à Berlin, mais il choisit de ne pas le contacter.
Deux ans plus tard, Dreyman publie un roman, dont le titre est La Sonate des bonnes personnes, soit en allemand Sonate vom Guten Menschen, ce qui se traduit littéralement par La Sonate de l'homme bon. Cette sonate correspond au livret que lui avait offert Jerska avant son suicide, et dont l'écoute avait bouleversé Wiesler.
Wiesler aperçoit dans la vitrine d'une librairie une affiche publicitaire pour ce dernier livre de Dreyman ; il entre alors dans le magasin et, ouvrant un des exemplaires en vente, constate que l'auteur a dédié le livre à l'agent de la Stasi « HGW XX/7 », pour le remercier de sa protection. Wiesler l'achète et, à la question du caissier qui lui demande s'il faut préparer un paquet-cadeau, il répond : « Non, c'est pour moi ».
wiki.fr.
wiki.fr.
Niciun comentariu:
Trimiteți un comentariu