Se afișează postările cu eticheta FONDA. Afișați toate postările
Se afișează postările cu eticheta FONDA. Afișați toate postările

miercuri, 29 iulie 2020

12 OAMENI FURIOSI (1957) / Sidney Lumet

12 ANGRY MEN – 12 hommes en colère


Réalisation : Sidney Lumet
Société de production : United Artists
Genre : drame judiciaire
Durée : 95 minutes
Date de sortie : 10 avril 1957 (USA)
Casting :
Henry Fonda : juré n° 8
Martin Balsam : juré n° 1
John Fiedler : juré n° 2
Lee J. Cobb : juré n° 3
E. G. Marshall : juré n° 4
Jack Klugman  : juré n° 5
Ed Binns : juré n°6
Jack Warden : juré n° 7
Joseph Sweeney : juré n° 9
Ed Begley : juré n°10
Jiří Voskovec : juré n° 11
Robert Webber : juré n° 12

L’HISTOIRE

Un jury de 12 hommes doit statuer à l’unanimité sur la culpabilité d’un jeune homme accusé de meurtre. Seul, un juré le déclare non-coupable, et va devoir convaincre les autres un à un que l'accusé est peut-être innocent.

L’AVIS DE FU MANCHU

Avec 12 angry men, on aborde ici l’un des plus grands films de procès jamais réalisés – et l’un des meilleurs films tout court, d’ailleurs -, dont je voulais parler sur Films Classiques pour l’empreinte qu’il a aussi laissée dans mon esprit.


N’étant pas forcément un grand amateur des films judiciaires, ou des huis-clos par la même occasion, je dois cependant remarquer que tout est parfait ici : la qualité de la réalisation, l’intérêt pour l’intrigue, la performance des acteurs… tellement parfait que l’on se retrouve captivés par l’histoire, à décortiquer les pour et les contre quant à la culpabilité de l‘accusé, pris par la curiosité de savoir de quelle manière Henry Fonda va convaincre les autres jurés.

Car c’est bien l’intérêt de 12 hommes en colère : plus que de savoir si le juré n°8 va réussir à prouver que l’accusé est innocent, c’est de savoir comment il va s’y prendre qui importe. D’autant que le scénario ne nous donne pas véritablement la réponse : peut-être l’accusé est-il coupable, peut-être pas. Mais le film va montrer, en nous révélant pas à pas les divers éléments du procès, que ce qui semblait si évident au premier abord au jury – la culpabilité de l’accusé – ne l’est peut-être pas tant que ça.

La réalisation est vraiment menée de main de maître par Sidney Lumet, et dès les premières scènes le spectateur est plongé dans le décor : le palais de justice, la fin du procès, le jury se rendant dans la salle… On a ainsi droit dès le générique à un plan séquence de plusieurs minutes où le réalisateur laisse les acteurs jouer sans interruption, ce qui donne un réalisme incroyable à la scène, qui se veut presque banale : voilà tout simplement ce qui se passerait dans une vraie salle de délibération. La sensation d’oppression qui pèse sur le procès est elle aussi  rendue de belle manière : le temps est orageux, la ventilation est en panne et les hommes vont évoluer dans une atmosphère irrespirable, allant jusqu’à enlever leurs vestes et dénouer leurs cravates pour mieux respirer…

Pourtant, le verdict semble couru d’avance. La police a rassemblé les preuves, les témoins ont parlé, les avocats ont fait leur œuvre : les jurés, en entrant dans la salle pour délibérer, n’ont guère de doute. Un sentiment de culpabilité, peut-être, envers ce jeune homme qu’ils regardent à la dérobée et dont ils ont le sort entre les mains. Mais non, la justice a fait son œuvre : il est coupable, pensent-ils tous. Tous ? Non, car un « irréductible » juré, le juré n°8, joué par Henry Fonda, n’est pas d’accord : non, tout ne colle pas dans ce procès, il n’est pas impossible que l’on se soit trompé : il vote non-coupable, et le film est lancé.
We can’t decide it in five minutes. Suppose we were wrong…

12 hommes en colère, c’est donc une heure et demie de débats à huis-clos, parfois houleux, dans cette petite pièce d’où l’on ne sort qu’au début et à la fin du film. Et c’est donc aussi une remarquable étude de personnages, puisque les arguments avancés – ou non – par chacun va être un vrai révélateur de sa personnalité. Le juré n°8 (Henry Fonda) est calme, posé, d’une force tranquille et respectueuse des autres, mais sûr de sa conviction – « le doute existe » – et est prêt à en débattre. Le juré n°1 est lui aussi intéressé par le procès, intelligent, rassembleur, c’est lui qui prend l’initiative de diriger le débat. A l’opposé, le juré n°7 n’en a que faire et veut en finir au plus vite pour assister à un match de baseball. Les hommes les plus colériques et les plus opposés à l’accusé, les jurés n°3 et 10, vont au contraire être particulièrement virulents pour faire entendre leur opinion. 
Dans tous les cas, toutes ces personnes voient le procès à travers leur prisme personnel : leur caractère, leur situation sociale, leurs préjugés vis-à-vis d’un homme issu d’un milieu défavorisé et qui, pour certains, ne peut qu’être coupable. Tout est intéressant, et c’est cette analyse des personnages, combinée aux différents éléments de l’enquête qui ne nous sont dévoilés que petit à petit, qui rend le film passionnant.





Conclusion

Au final, Sidney Lumet nous livre un excellent film, porté de main de maître par un Henry Fonda charismatique, mais aussi par tous les autres acteurs : la profondeur de chaque personnage, leurs personnalités dissemblables, les affinités ou inimitiés qui se créent durant le débat, tout cela instaure un vrai climat de réalisme qui profite au film entier, et qui contribue à en faire une œuvre devenue culte aujourd’hui.

Note : 9/10




HENRY FONDA (1905-1982)







HENRY FONDA

Henry Fonda

FILMS CHRONIQUÉS SUR DVDCLASSIK

http://www.dvdclassik.com/personnalite/henry-fonda

ACTEUR :

  • 1938 : Miss Manton est folle (The Mad Miss Manton)
  • 1938 : L'Insoumise (Jezebel)
  • 1939 : Sur la piste des Mohawks (Drums Along the Mohawk)
  • 1939 : Vers sa destinée (Young Mr. Lincoln)
  • 1939 : Le Brigand bien aimé (Jesse James)
  • 1940 : Le Retour de Frank James (The Return of Frank James)
  • 1940 : Les Raisins de la colère (The Grapes of Wrath)
  • 1941 : Un coeur pris au piège (The Lady Eve)
  • 1942 : La Poupée brisée (The Big Street)
  • 1942 : Six destins (Tales of Manhattan)
  • 1943 : L'Étrange incident (The Ox-Bow Incident)
  • 1946 : La Poursuite infernale (My Darling Clementine)
  • 1947 : Dieu est mort (The Fugitive)
  • 1948 : Le Massacre de Fort Apache (Fort Apache)
  • 1956 : Le Faux coupable (The Wrong Man)
  • 1956 : Guerre et paix (War and Peace)
  • 1957 : 12 hommes en colère (12 Angry Men)
  • 1957 : Du sang dans le désert (The Tin Star)
  • 1959 : L'Homme aux colts d'or (Warlock)
  • 1962 : La Conquête de l'Ouest (How the West Was Won)
  • 1963 : La Montagne des neuf Spencer (Spencer's Mountain)
  • 1964 : Que le meilleur l'emporte (The Best Man)
  • 1964 : Point limite (Fail Safe)
  • 1968 : Il était une fois dans l'ouest (C'era una volta il West)
  • 1968 : L'Étrangleur de Boston (The Boston Strangler)
  • 1968 : Police sur la ville (Madigan)
  • 1970 : Le Clan des irréductibles (Sometimes a Great Notion)
  • 1977 : Le Toboggan de la mort (Rollercoaster)
  • 1978 : Fedora
  • =====================
  • Henry Fonda
  • Acteur de théâtre et de cinéma américain (Grand Island, Nebraska, 1905-Los Angeles 1982).

  • Comédien subtil, d'une grande sobriété, il a notamment joué dans : J'ai le droit de vivre (1937), l'Insoumise (1938), Vers sa destinée (1939), les Raisins de la colère (1940), Un cœur pris au piège (1941), la Poursuite infernale (1946), le Faux Coupable (1956), Douze Hommes en colère (1957), Tempête sur Washington (1961), le Reptile (1969), la Maison du lac (1981), avec lequel il remporta son premier Oscar.

  • Sa fille Jane, actrice de cinéma américaine (New York 1937), suit les cours de Lee Strasberg à l'Actors'Studio, et entreprend, à partir de 1960 (Tall Story, de Joshua Logan), une brillante carrière cinématographique. Elle tourne notamment Liaisons coupables (1962), les Félins (1964), On achève bien les chevaux (1969), Tout va bien (1971), Maison de poupée (1976), le Retour (1977), le Cavalier électrique (1979), la Maison du lac (1981), Stanley et Iris (1990).

  • ==============================================================
  • FONDA (Henry)

    acteur américain (Grand Island, Nebr., 1905 - Los Angeles, Ca., 1982).
    Étudiant journaliste piqué par la mouche du théâtre, il rejoint, en 1928, la jeune compagnie des University Players qui regroupe, entre autres, Joshua Logan, Margaret Sullavan, qu'il allait épouser, et James Stewart, l'ami de toujours. En 1929, il débute à Broadway. En 1934, il s'y fait remarquer et, la même année, Hollywood l'appelle pour recréer au cinéma le rôle qui l'avait lancé sur les planches : la Jolie Batelière (V. Fleming, 1935). Henry Fonda jouait un jeune campagnard, emploi dont il parviendra difficilement à se débarrasser. C'est à la famille cinématograhique des Charles Ray, Richard Barthelmess ou Charles Farrell qu'il semble alors appartenir. De nombreuses fois marié, vedette adulée de la scène (sur laquelle il ne renoncera jamais à paraître), il était aussi, dans les dernières années de sa vie, un populaire acteur de télévision : il a embrassé toutes les expressions qui s'offraient à son métier d'acteur.
    Une longue interruption (1948-1955), consacrée au théâtre, scinde sa carrière cinématograhique en deux périodes, nettement distinctes. Jeune acteur courtisé par le cinéma qui lui fait les honneurs d'un début en vedette, il devient vite le partenaire masculin que les stars à forte personnalité se disputent. Barbara Stanwyck (Miss Manton est folle), Sylvia Sidney (la Fille du bois maudit ; J'ai le droit de vivre) ou Bette Davis (Une certaine femme ; l'Insoumise) se le partagent. Mais il est déjà évident que Fonda n'est pas un fade jeune premier : opposée à l'énergie de Barbara Stanwyck, à l'émotion de Sylvia Sidney ou à la nervosité de Bette Davis, sa tranquillité sereine et grave a, elle aussi, l'art de séduire le spectateur. Dès 1935, quand il succède à Richard Barthelmess dans la seconde version d'À travers l'orage(H. King), il a su s'inventer un personnage d'innocent honnête et solide qui lui deviendra familier. Malgré ses rapports tendus avec Fritz Lang, il donne la pleine mesure de son talent dans sa composition de délinquant fugitif et haletant de J'ai le droit de vivre. Par ailleurs, la cohabitation avec une autre grande vedette masculine, Pat O'Brien (Rivalité) ou Tyrone Power (le Brigand bien-aimé), ne l'empêche pas de tirer habilement son épingle du jeu en « composant » avec précision (ainsi le Frank James chiquant de ce dernier film). En 1939, avec un faux nez qui ne diminue en rien l'intensité de son regard, il est le jeune Abraham Lincoln de Vers sa destinée et inaugure ainsi, dans l'enthousiasme, sa collaboration fructueuse avec John Ford. C'est aussi, paradoxalement, l'époque des rancœurs qui commence. Pour être l'inoubliable Tom Joad, avec dans ses yeux toute la misère du monde (les Raisins de la colère, 1940), il doit accepter trois ou quatre films de routine que la Fox lui impose. Ce compromis ne lui convient pas et son absence, due à la guerre, creuse le fossé : en 1948, après le Massacre de Fort Apache, il se retire. Plus tard, réconcilié avec lui-même, Fonda se reverra avec plaisir dans des productions modestes où il fait merveille, comme The Big Street (1942).l revient au cinéma avec Permission jusqu'à l'aube(1955), qu'il avait fait triompher à Broadway. Il se brouille avec Ford, mais accepte les propositions qui affluent : le scrupuleux Pierre de Guerre et Paix, le pathétique Faux Coupable ou l'honnête juré de Douze Hommes en colère. Le goût du cinéma lui revient et il semble s'amuser. Ce qui explique que cet homme intransigeant se soit transformé avec délectation en incarnation démoniaque dans les Cinq Hors-la-loi (Vincent McEveety, 1968) ou Il était une fois dans l'Ouest(S. Leone, id.). C'est ainsi encore que se justifient les épiphanies fugitives et les apparitions dans des films médiocres.
    Le regard de source claire, le pas mesuré, le geste économe suggèrent l'honnêteté, même dans une composition frénétique comme J'ai le droit de vivre. Sa voix articulée, aux trémolos étouffés, fait vibrer les monologues (les conclusions des Raisins de la colère et de l'Étrange Incident). Mais il sait aussi se taire et son visage sobre de Christ aux douleurs balaye tout (le bouleversant Faux Coupable). Tout en lui est si limpide qu'il a souvent navigué aux confins de la naïveté (la Fille du bois maudit, le Brigand bien-aimé ou Chad Hanna). Le dessinateur Al Capp en fit le modèle de son Lil’ Abner. Cet aspect de son jeu a obscurci quelque peu les autres, riches, nuancés. Il a joué l'indignation (J'ai le droit de vivre), la colère (les Raisins) ou l'obstination stupide (le Massacre de Fort Apache). Mais il fut aussi un acteur de comédie exemplaire, comme en témoigne l'éblouissant Un cœur pris au piège (1941), où on le verra, savant hurluberlu, recroqueviller sa grande taille face à une Barbara Stanwyck qui s'amuse à jouer les mantes voraces.
    Acteur avant tout, Henry Fonda est, entre tous, un visage ami, intime. Il suscite l'identification et la compréhension. Il murmure la confidence à l'oreille du public. Il s'est servi de ce rapport privilégié pour s'assurer une des plus belles « sorties » qu'un acteur ait jamais eues. Dans la Maison du lac (1981), professeur à la limite de la décrépitude, il sait, avec un art consommé, jusqu'où il peut être grossier ou mufle. Il s'effraie de l'obscurité d'une forêt, signe de sa mort prochaine, il joue son agonie, puis, finalement, revit, précairement, illusoirement. Comme pour nous dire que, malgré une issue qu'il savait inévitable, son visage de bon pain serait toujours là. Clair, ouvert, généreux, personnification d'un certain idéal démocratique, mais aussi, furtivement calculateur ou durci, humain, son visage est un miroir.

    Films  :

    la Jolie Batelière (V. Fleming, 1935) ; À travers l'orage(H. King, id.) ; Griseries (I Dream Too Much, J. Cromwell, id.) ; la Fille du bois maudit (H. Hathaway, 1936) ; le Diable au corps (The Moon's Hour Home, W. Seiter, id.) ; Spendthrift (R. Walsh, id.) ; la Baie du destin (Wings of the Morning, H. Schuster, 1937, GB) ; J'ai le droit de vivre (F. Lang, id.) ; Rivalité (Slim, R. Enright, id.) ; Une certaine femme (E. Goulding, id.) ; Collège mixte (I Met My Love Again, A. Ripley et J. Logan, 1938) ; l'Insoumise (W. Wyler, id.) ; Blocus (Blockade,W. Dieterle, id.) ; les Gars du large (Spawn of the North,H. Hathaway, id.) ; Miss Manton est folle (The Mad Miss Manton, Leigh Jason, id.) ; le Brigand bien-aimé(H. King, 1939) ; Laissez-nous vivre (Let Us Live,J. Brahm, id.) ; Et la parole fut (The Story of Alexander Graham Bell, I. Cummings, id.) ; Vers sa destinée(J. Ford, id.) ; Sur la piste des Mohawks (id., id.) ; les Raisins de la colère (id., 1940) ; Lillian Russell(I. Cummings, id.) ; le Retour de Frank James (F. Lang, id.) ; Chad Hanna (King, id.) ; Un cœur pris au piège(P. Sturges, 1941) ; Wild Geese Calling (Brahm, id.) ; Tu m'appartiens (You Belong to Me, W. Ruggles, id.) ; The Male Animal (E. Nugent, 1942) ; la Poupée brisée (The Big Street, I. Reis, id.) ; Qui perd gagne (Rings on Her Fingers, R. Mamoulian, id.) ; Six Destins (J. Duvivier, id.) ; The Magnificent Dope (W. Lang, id.) ; l'Étrange Incident (W. Wellman, 1943) ; Aventure en Libye (Immortal Sergeant, J. Stahl, id.) ; la Poursuite infernale(J. Ford, 1946) ; Dieu est mort (id., 1947) ; Femme ou maîtresse (O. Preminger, id.) ; The Long Night (A. Litvak, id.) ; la Folle Enquête (On Our Merry Way, K. Vidor, Leslie Fenton, 1948) ; le Massacre de Fort Apache(J. Ford, id.) ; l'Ange de la haine (Jigsaw [caméo], Fletcher Markle, 1949) ; Permission jusqu'à l'aube(J. Ford, M. LeRoy, 1955) ; Guerre et Paix (K. Vidor, 1956) ; le Faux Coupable (A. Hitchcock, 1957) ; Douze Hommes en colère (S. Lumet, id.) ; Du sang dans le désert (A. Mann, id.) ; Stage Struck (Lumet, 1958) ; l'Homme aux colts d'or (E. Dmytryk, 1959) ; l'Homme qui comprend les femmes (The Man Who Understood Women, N. Johnson, id.) ; Tempête à Washington(Preminger, 1962) ; le Jour le plus long (A. Marton,..., id.) ; la Conquête de l'Ouest (épisode dirigé par G. Marshall, id.) ; la Montagne des neuf Spencer(D. Daves, 1963) ; Que le meilleur l'emporte(F. Schaffner, 1964) ; Une vierge sur canapé (Sex and the Single Girl, R. Quine, id.) ; Point limite (Lumet, id.) ; Première Victoire (Preminger, 1965) ; Guerre secrète(T. Young, id.) ; le Mors aux dents (B. Kennedy, id.) ; la Bataille des Ardennes (Battle of the Bulge, K. Annakin, id.) ; Gros Coup à Dodge City (A Big Hand for a Little Lady, Fielder Cook, 1966) ; Welcome to Hard Times(Kennedy, 1967) ; les Cinq Hors-la-loi (Firecreek, Vincent McEveety, 1968) ; Police sur la ville (D. Siegel, id.) ; les Tiens, les miens, le nôtre (Yours, Mine and Ours,M. Shavelson, id.) ; l'Étrangleur de Boston (R. Fleischer, id.) ; Il était une fois dans l'Ouest (S. Leone, id.ITAL/US) ; Trop tard pour les héros (R. Aldrich, 1970) ; le Reptile (J. Mankiewicz, id.) ; Attaque au Cheyenne Club(G. Kelly, id.) ; le Clan des irréductibles (P. Newman, 1971) ; le Poney rouge (The Red Pony [TV], Robert Totten, 1972) ; le Serpent (H. Verneuil, 1973, FR/ALL) ; les Noces de cendres (Ash Wednesday, L. Peerce, id.) ; Mon nom est personne (Il mio nome è nessuno, Tonino Valerii, id., ITAL/ALL) ; Un flic véreux (Inside Job,Michael Lewis, id., TV) ; les Derniers Jours de Mussolini(Mussolini : ultimo atto, C. Lizzani, 1974, ITAL) ; la Bataille de Midway (Midway, J. Smight, 1976) ; le Toboggan de la mort (Rollercoaster, James Goldstone, 1977) ; Tentacules (Tentacoli, Oliver Hellman, id., ITAL) ; The Great Smokey Roadblock / The Last of the Cowboys(John Leone, id.) ; l'Inévitable Catastrophe (The Swarm,I. Allen, 1978) ; Fedora ([caméo], B. Wilder, id.,ITAL/ALL) ; Meteor (R. Neame, id.) ; la Grande Bataille(La battaglia di Mareth, Umberto Lenzi, 1979) ; Wanda Nevada (P. Fonda, id.) ; Cité en feu (City on Fire, Alvin Rakoff, id.) ; la Maison du lac (M. Rydell, 1981).
  • =================
    (cliquez sur une affiche pour lire les commentaires sur le film)25 films où Henry Fonda a été l'un des acteurs principaux :

  • ===============================================