miercuri, 6 mai 2020

The third man (1949) Regia: Carol Reed / Scenariul: Graham Greene

AL TREILEA OM (1949)


Profund marcat (devastat) de intalnirea - in ultima zi a ticalosului an care a trecut (2017) si in prima zi a inocentului an care a venit (2018)-un film: The third man (1949)
Regia: Carol Reed
Scenariul: Graham Greene
Imaginea: Robert Krasker
Montajul: Oswald Hafenrichter
Musique: Anton Karas
cu: Joseph Cotten, Alida Valli, Orson Welles, Trevor Howard

Un film injectat cu penicilina patentata de Harry Lime

Toate ranile unei constiinte avariate au sangerat simultan: Viena, vina, versatilitate, vraja, decor baroc - paravan al neantului, rafinament cultural - delicvescenta morala, iresponsabilitate senina - asumare a principiului Dike, dezorientare - scindare, duhul peren al raului - fragilitatea si ambiguitateaa binelui,  cinismul masculin - fidelitatea feminina “ohne warum”.

Opinii laconice (uneori fulgurante) ale unor anonimi de pe net:

“ La cithare moqueuse et les obliques d'une Vienne crépusculaire sonnent le plus fameux requiem des prévaricateurs et des profiteurs de guerre. ”

 “ Traque obsédante entre ombre et lumière d’un mystérieux vendeur de mort.Wells déploie son ombre de géant sur les murs de Vienne dévastée.”

“ L'ombre titanesque de Welles plane sur ce brillant (sic) film noir. Une Vienne en ruine, symptomatique des maux de l'Europe d'après guerre.”

“ Visuellement splendide, entre gris clair et gris foncé, la noirceur de l'énigme s'accentue peu à peu, après l'apparition du troisième homme.”

“ Des ombres insaisissables sur les murs de Vienne, des inclinaisons si étranges si fascinantes. Le Troisième Homme, le film noir matriciel.”

“ Le Troisième homme n'a pas pris une Reed.(sic). Le film noir des films noirs! ”

“ Ce film noir éblouissant a son double-fond romantique : il échafaude sur les ruines bien réelles de l'ancien monde un émouvant mélodrame.”

“ Le monde de la peur dans la Vienne cauchemardesque de l'après-guerre, mélancolie romantique du thriller européen. Chef d'oeuvre!”

“ Dans les ruines de Vienne, la perte d'illusions d'un homme prend le trait d'un fantôme, le spectre du héros déchu, devenant ombre rampante.”

“ Celui qui sort de l'ombre, assassine les enfants, disparaît dans les profondeurs, fait tourner les grandes roues & pencher les cadres.” 

“ Cascades d'émotions pour cette peinture d'une noirceur grimpante, aux lumières hallucinogènes, sur fond d'Autriche saccagée. Sublime!”

Vienne, scindé en quatre par les cadres cassés de la caméra et sous la photo exceptionnelle de Krasker.”

“ Orson Welles, la musique, la photographie, la lumière… Par ce film noir, Vienne est devenue une ville de cinéma à part entière.”

“ Une ritournelle qui frise l'obsession, des cadres expressionnistes et un récit en spirale mystificateur. Reed est touché par la grâce.”

“ Les cadres instables accusent la désorganisation de cette enquête stérile et trouble, illuminée par le sourire narquois d'Orson Welles.”

“ Ce film se pose comme la perfection quasi archétypale du film noir, sur laquelle un génie est venu apposer le détail ultime: sa musique.” 

“Aux sublimes statues de marbre ne réponde que les ruines, à l'amour de la femme s'oppose le cynisme des hommes ! Mais quelle photo !”

“ L'ombre de l'expressionnisme et la trace du néo-réalisme réunies dans un polar où le noir et blanc contamine jusqu'aux personnages.”

“ Lente descente vers le noir le plus profond, le film ne commence réellement qu'à l'apparition de Welles. Dernier plan sublime.”

“ On voudrait s'y perdre à tout jamais. ”


www.cinemaparlant.com
Fiche pédagogique Festival Premiers Plans – Programmations « Films d’enquête » 2003 et « Entre guerres et paix » 2011 - 1 - LE TROISIÈME HOMMELE TROISIÈME ...




Poate...cel mai mai tulburator final din istoria filmului

The Third Man - Final Scene
Anna walks out of Holly Martins' life.
www.youtube.com



1. Maiorul Calloway (Trevor Howard): -Be sensible, Martin. (Fii rezonabil, Martins)
2. Holly Martins (Joseph Cotten): -I haven’t got a sensible name, Calloway (Nu am  nume de om rezonabil.  (Holly =1. ilice, planta (potential) otravitoare si 2. holy = sfant) 

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Cand veti avea un ragaz cinefil, in anul nesfarsit care vine, vedeti sau revedeti, va rog,  The Third man, 1949, reg. Carol Reed, cu Joseph Cotten, Alida Valli, Orson Welles, Trevor Howard, Siegried Breuer (Popescu)   

O intrebare depre un film obsedant, avand ca  scena Viena postbelica, cosciugul fastului baroc, al noptilor spectrale si al tainuitelor  canale subterane: de ce Anna Schmidt (Alida Valli) continua sa-l iubeasca pe ticalosul  Harry Lime?




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