duminică, 12 ianuarie 2020

M.Hulot e tot in vacanta...ca si noi


O lozinca mobilizatoare:

Mais ne nous résignons pas à laisser mourir l’esprit de l’été!

Sa nu lasam sa moara spiritul vacantei!
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Les Vacances de Monsieur Hulot (Jacques Tati, 1953) ★★★★ : L’esprit de l’été

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Les Vacances de Monsieur Hulot (Jacques Tati, 1953)


"En ce début d'année, le temps semble plus être à la nostalgie qu’à la fête. Hormis quelques retardataires ou quelques stratèges, les vacances d’été tant attendues sont déjà passées. Trop vite, comme d’habitude. Mais ne nous résignons pas à laisser mourir l’esprit de l’été, et profitons encore d’une parenthèse ensoleillée grâce à Jacques Tati et aux Vacances de Monsieur Hulot".

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Dictionnaire du cinéma, tome 3 : les films par Lourcelles
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Jacques Lourcelles
ISBN : 2221091124
Éditeur : ROBERT LAFFONT (09/07/1999)

Note moyenne : 4.4/5 (sur 10 notes)
Résumé :

Ce troisième volume du Dictionnaire du cinéma, consacré aux films, rassemble en plus de mille sept cents pages ce que le septième art compte de meilleur, de plus durable et de plus représentatif : classiques du cinéma admirés et révérés depuis longtemps, mais aussi films moins connus, plus cachés, l'histoire du cinéma étant encore riche de nombreux chefs-d'œuvre insuffisamment célébrés.
Quelque trois mille films de toutes langues et de toutes nationalités se trouvent analysés, appréciés ou simplement évoqués. Chaque notice comprend un générique complet, un résumé détaillé, une appréciation critique et, le cas échéant, une note bibliographique.

CRITIQUES, ANALYSES ET AVIS (2)AJOUTER UNE CRITIQUE
ileana
ileana   29 mars 2015
Si vous aimez le cinéma des années 1930-1960, vous apprécierez ce dictionnaire. Il a été publié en 1990, mais trois quarts des films analysés appartiennent aux trois décennies citées. L'auteur nous propose sa vision subjective. Il tient en piètre estime la Nouvelle Vague, les films de S Leone, la saga Star Wars, Fassbinder, Wim Wenders etc.
Lorsqu'il parle du Hollywood classique, de l'âge d'or du cinéma français, des oeuvres de certains metteurs en scène japonais ou de Rossellini, ses textes sont limpides, bien argumentés et vont droit au but. Un grand plaisir de lecture.
Quand il se penche sur ses bêtes noires, il livre quelques délicieuses diatribes.
Les cinéphiles ont pardonné les partis pris de ce dictionnaire (1500 films analysés) et lui accordent le titre de grand classique.
Extrait p 1462, le film Pour une poignée de dollars (S Leone)
« Durant les trente dernières années [1960 – 1990], deux cinéastes ont eu [ ] une influence catastrophique sur l'évolution du cinéma : Jean-Luc Godard et Sergio Leone. le premier en flattant l'ego de certains cinéastes en herbe et leur vocation au bâclage ; le second en abaissant – ce qui est peut-être encore plus grave – le niveau moyen du spectacle cinématographique populaire. En trois films [ ] Leone a dévitalisé un genre fondamental du cinéma dont il a accentué complaisamment l'un des éléments (la violence) tout en recourant à des intrigues de plus en plus débiles. Dans la trajectoire fatale qui a mené la plupart des salles de quartier à passer des films hollywoodiens de genre aux westerns italiens puis aux films pornographiques avant de fermer leur porte pour se transformer en supermarchés ou en toute autre forme de commerce, le moment décisif, le point de non-retour a été atteint durant l'invasion des western-spaghetti. Il serait injuste d'attribuer au seul Leone et à ses pairs la responsabilité de cette évolution, mais ils y ont largement contribué et l'ont accélérée. »
Extrait p 1463, le film le rayon vert (E Rohmer)
« Sur le plan de l'intrigue, le rayon vert pourrait être décrit comme l'histoire d'une héroïne antonionienne effectuant à travers la France des randonnées à la Wim Wenders et se retrouvant à chaque fois plongée dans l'univers de Michel Lang. Un cauchemar. »
Extrait p 1221, le film Qu'est-il arrivé à Baby Jane ? (R Aldrich)
« C'est un fabuleux duel de monstres [ ] qu'orchestre ici Aldrich dans un mélange complexe et explosive de qualités : virtuosité technique et dramatique, humour sardonique, férocité mêlée à un étrange sentiment de compassion pour ses personnages [ ]. Alors que le film semble se dérouler, au sein de l'horreur, dans un manichéisme bon teint, le dénouement vient pulvériser cette apparence et fait éclater au visage du spectateur le pessimisme gigantesque et total d'Aldrich. Ayant parcouru (en un seul film génial Kiss Me Deadly) tout l'univers du film noir, rendu plus noir encore après son passage, Aldrich se sentit poussé à explorer sa vision apocalyptique du monde. Il les a trouvés ici en créant un genre qui fut beaucoup imité et en indiquant à de vieilles et prestigieuses actrices la route à suivre pour s'éviter à elles-mêmes l'académisme. »

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ericbo
ericbo, 23 octobre, 2017

Quelle déception !
Pour Lourcelles, le cinéma semble s'être arrété dans les années 60.
Moi aussi, je suis un inconditionnel de Murnau, Carné ou de Sica, mais le cinéma ne s'arrête pas là. Lourcelles ne cesse de dénigrer des auteurs comme Antonioni ou Wenders. Il ne semble pas avoir compris l'enjeu de ces cinéastes. Leur questionnement sur ce qu'est le cinéma, à travers le doute et l'errance, entre autres. Des réflexions du genre : Peut-on se passer de voir les films d'Antonioni ? me semblent le fruit d'une ignorance et d'un manque de lucidité inadmissible. Les cinéphiles mac-mahoniens (se regroupant autour du cinéma Mac-mahon, spécialisé dans les films d'avant-guerre) dont fait partie Lourcelles passent à côté de chefs-d'oeuvres devenus des classiques.
Tant pis pour eux mais qu'ils n'en dégoûtent pas les autres !
Le moins que l'on puisse dire est que ce dictionnaire manque d'objectivité.

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